PRESSE


Le Tombeau de Monsieur de Lully & autres Sonates à III Parties
Jean-Ferry Rebel, Ensemble Variations, Accord 242 992

- "…L'interprétation, parfaitement maîtrisée, allie la finesse du jeu à la cohésion d'ensemble et à l'équilibre sonore… Ces sonates de Rebel, servies par une superbe interprétation… convaincront les plus tièdes." 
Le Monde de la Musique, 1992

- "…Si notre joie est grande de découvrir pareils joyaux, elle est encore attisée par l'excellence d'une interprétation extrêmement animée et d'une parfaite facture instrumentale. La cohésion entre les cinq artistes est exemplaire…
…Sagesse, douceur, noble éloquence… autant de qualités inséparables du goût français de la fin du règne de Louis XIV, que l'ensemble " Variations " maîtrise au plus haut point…

Répertoire, 1992




Concert pour deux dessus & basse
Gaspard Le Roux, Ensemble Variations, Accord 206 182

"… la présente parution…comblera tous les amateurs de musique de chambre française, car rarement un enregistrement aura atteint un tel degré de raffinement. Frédéric Martin, seul spécialiste, semble-t-il, de la lira da braccio de la Renaissance, mais qu'on aimerait entendre plus souvent dans le répertoire baroque français, a réuni autour de lui quelques-uns des artistes les plus discrètement efficaces du monde baroque en France pour constituer un petit ensemble à l'homogénéité exemplaire[…] Écoutez celui [le menuet], brièvement conclusif de la Suite en sol mineur; le rebond souple des gavottes et des gigues invite irrésistiblement à la danse… Et a-t-on déjà entendu un dosage de l'inégalité aussi subtilement réussi, aussi “français”, que celui du menuet en fa majeur et de ses doubles ?

Reflet élégant et distingué de l'esthétique d'un siècle, ce disque est à réserver aux gourmets : ne pas en déguster plus d'une suite à la fois, pour l'apprécier au mieux de sa saveur. "

" On ne pouvait trouver meilleure équipe pour restituer cette musique. Frédéric Martin est considéré comme “le” spécialiste des instruments Renaissance (lira da braccio et toutes sortes de violons), ainsi que du répertoire XVIIe. Avec l'aide d'Odile Édouard, qui fréquente également ce répertoire avec bonheur, il nous donne une interprétation façonnée par la liberté et la souplesse acquises dans la musique antérieure. L'ornementation, d'un goût exquis, coule avec naturel et flexibilité. Les deux voix s'harmonisent avec grâce, et les caractères sont parfaitement restitués. Le continuo est aussi le fait de connaisseurs…
"
Christophe Robert, Répertoire, 1997





Sonates à un & deux violons avec viole ou violoncelle obligés
Élisabeth Jacquet de La Guerre, Ensemble Variations, Accord, 205 782

" […] Ces pages démontrent d'ailleurs de sa part [É. J. de la Guerre] une réelle maîtrise technique et une formidable invention mélodique. Fortement marquées par l'influence italienne, notamment de Corelli, ces six œuvres sont autant de petits concerts badins ou poétiques d'une élégance délicieuse. Belle prestation de l'Ensemble Variations où l'on remarque le violon volubile de Frédéric Martin entouré d'une solide équipe de baroqueux. "
J.-L. M., La Croix, 1997, "L'événement"





Quatre Motets Lorrains
Henry Desmarest, Ensemble Variations, Studio de Musique Ancienne de Montréal (Direction Christopher Jakson) K617, K 617053

« Devant  l'excellence de cette version, on reste confondu. Comment une telle musique reste-t-elle si peu connue ? […] tous ces éléments bénéficient de la meilleure interprétation par une palette de musiciens remarquables… »
Michel Laizé, Répertoire, 1995





J. S. Bach, l’ouverture à la danse
Spectacle chorégraphique
donné à Porrentruy (Suisse) les 29 et 30 octobre 2006.

« un orchestre d’une extraordinaire présence. »
« Jamais le [4e Concerto] Brandebourgeois et le Double Concert de violons n'ont été interprétés avec autant de dynamisme et de douceur. Directeur de La Compagnie des Violons du Roy, Frédéric Martin vit corporellement la phrase musicale. Son violon propage son chant à tout l'orchestre en s'y fondant. Même chose dans le duo de violons, dans le duo de flûtes à bec. Ils n'ont pas eu de peine à entraîner le monde au bord de l'émotion. »
Yves-André Donzé, Le Quotidien Jurassien, 31 octobre 2006